«PROTOZAIRES PARLANTS»

mots écrits

MONDOLEONE OPVS © 2006

Traduction approximative de l'italien, si quelqu'un  la veut perfectioner, contactées nous

● Ceux-ci sont des mots écrits sur écran pas sur marbre, pourront même s'imprimer sur papier, mais ils sont et resteront mots sur écran, par conséquent modifiables et altérables, mots écrits à définir un essai opensource: libre, gratuit, ouvert, justement. Bienvenus suggestions extérieures, cependant jamais pour ajouter, mais plutôt pour enlever, simplifier, retrancher. La cible et le but de ces mots écrits sont d'éclaircir notre existence sur cette planète. Et l'éclaircir définitivement.

● Les concepts et les réflexions ici présentées sont depuis longtemps connus, rien de nouveau, puisque le nouveau était déjà fini lorsque les aïeux des pépés de nos pépés furent nés. Seulement recombinaison, voilà il y a seulement & seulement recombinaison de mots dits et redits par d'autres gents, de gents qu'elles avaient et ont voient juste. Si vraiment nous voulions, il s'agit d'une vision du monde qui doit être faite sa propre vision, absorbée, echarnée, faite édition de poche, mise dans le cerveau et laissée là, à nous adresser toujours, dans l'ensemble nous pouvons la définir comme « la vision mondoleonienne », celle beaucoup voisine à la vérité.

● Bien vienne une re-edition pour petits enfants pre-écoliers et écolier élémentaires, avec des tables en couleurs tout le reste. La présomption plus grande que ces mots écrits voudraient avoir est de devenir une « sbible universelle », ou bien une bible au contraire, mais même scoran, stalmud, sveda et toutes les autres contes de fées et les délires. Ici seulement claires et pures observations, démonstrations de beaucoup de vérités absolues.

● Le titre, parce que encore ils ne sont pas finis les titres des livres, est « Protozoaires Parlants », mais ils seraient pus être : procaryotes ou autre, de noms nous en avons à foison, forgés par des soi-disant spécialistes, que nous supposons sachent, en bref les formes des unicellulaires ou monocellulaires, très petits, des bêbête composés d'une seule cellule, mais ils réagissent, on bougent, actuellement ils sont dans nous et hors de nous. Ils se multiplient pour division, en deux parties exactement égales ou pour accouplement, qui veut chercher dans le web (qvcdw) pour entrer dans le mérite, mais sa sert pas à beaucoup. Qu'est-ce que sert est nous mettre dans tête que tu, elle, je, vous, ils, il, nous, tous provenons de ces organismes microscopiques et sur ceci on ne doit pas ou malheureusement devrait discuter, or coulé, vérité absolue (va), doit être dit au début et à la fin de chaque programme télévisé, dans chaque page de journaux et de magazines, avant, pendant et après des concerts, rencontres sportifs et tous les meetings humains. Et celui-ci dans le monde entier de l'Alaska, en passant pour la Sierra Leone, en finissant en Nouvelle Zelande.

● Mais est dans les écoles de chaque ordre et degré, de la crèche aux cours post-licence qui doit être dit et re-dit, écrit et dessiné. Même si clairement une fois joints à l'université tel concept devrait faire partie de l' étudiante comme si il était son bras, et par contre non, vraiment c'est pas comme ça. Combien d'universités il y ont maintenant dans ce monde ? Neuf mil, dix mil, ne sais-je pas et n'importe pas (qvcdw), et ce que font là pour toute la journée ? Ils répètent, dans l'immense majorité, l'habituelle ritournelle de vide baratin, se pénètrent en spécialisations psychopathologique, fuites des la réalité et semblables, ça suffit ! Voilà, pour ceci, l'urgence de porter des mots linéaires, resserres, essentiels et lapidarie, voilà « Protozoaires Parlants ». Merci

● Et ici elle se lève toute la résistance illusoire de siècles et des siècles d'illusion, se dira "Protozoaires Parlants"? Est-ce qu'il est ce qui sommes nous? Mais il est atroce, horripilante, pourtant il faut l'accepter au cent pour cent, nous étions protozoaires, en substance organismes unicellulaires, laissent de côté les dissertations menus pour l' istant; puis avec le temps les cellules se sont amassées, et après nous avons commencé à émettre sons communicables, à peu près transmissibles, c'est tout; l' illusion rassérénant n'existe pas, beauté, lyrisme, splendeur et enchantement: coup d' éponge, coup de torchon.

● Si nous revenions à la nuit des temps, nous verrons avec nos yeux clairement qu'aucun être suprême ne commandait la manoeuvre, ce qui été là depuis toujours: seul et seulement le temps et le matériel, éléments matériels et temps, comme ce fût une recette de cuisine, ils ont pétri le tout.

● Et pourquoi alors tout ceci est arrivé? Une bonne raison il faut être, et non qu'il y n'a pas une raison, tout entièrement sans but, le temps qui passe sans jamais s'arrêter a produit tel résultat, c'est le temps qui agissait, il agit et il agira sur les matériels de notre planète la raison vaine de tout. Maintenant l'équation devient: temps, matériels et oeuvre humaine à l'origine de la modification.

● Les anciens Grecs avaient déifié le temps, mais le Monsieur Temps n'existe pas, celui-là est ici et il reste ici, et inutile nous broder dessus, le temps va en avant, puis sont les matériel qui se modifient sans dessin, mais accidentellement en suivant *une série sans fin de combinaisons. Alors, nous avons eu des composés chimiques plus le temps célèbre, qu'il les a faits interagir, mêler, et de telle interaction voilà les particules organiques, vives de lequel puis nous dérivons.

*une série sans fin de combinaisons: il veut dire le cas il n'existe pas, l'infini n'existe pas, nous prenons un fait:    une pomme sur l'arbre. et nous énumérons ce qui peut les arriver en la réalité de fait (rdf), nous commençons avec les combinaisons pomme + vent et puis autres:

1. tomber en perpendiculaire sans vent présent

2. tomber au moyen d'un souffle faible de vent

3. tomber au moyen d'un souffle fort de vent

4. venir recueilli par le paysan

5. pourrir au sol

● Enfin vous avez bien compri, l' énumération va en avant et en avant rejoint les grands nombres, mais il a une fin, le définissons sans fin, dans le sens qui est énorme, mais pas infini: c'est-à-dire que il continue pour toujours sans jamais s'arrêter. Ensuite, seulement l'univers est infini, stop. En ce qui concerne le cas, après l'exemple de la liste sur décrit, il n'a pas de raison d'être plus nommé, effaçons-le du dictionnaire, le cas c'est un gros mot à interdire, il y n'a pas autre que combinaison elencabile, aucun cas existe dehors de la liste.

● Pour connaître les origine de la planète terre dans les détails, suffit d' aller chercher des explications logiques, type le Big Bang ou l'accroissement du disque, bref, d'explosions, seul explosions et force centrifuge, ensuite la formation des organismes vivants, que' encore ils sont entre nous: protozoaires, procaryotes, eucaryotes et nous nous arrêtons ici, nous remarquons bien cependant, déjà dans cette nuit des temps il y avait la reproduction sexuelle, donc mâle et femme naissent avec le monde. Pourquoi? Parce qu'ils naissent avec le monde, il pouvait être ou il ne pouvait pas être, il a été, et nous devons nous en faire une raison: la combinatoire contingente, bon gré mal gré . Et puis l'eau, les insectes, désastres, presque tout disparaît, jusqu'à les les mammifères et finalement voici aux mammifères avec le mot, nous pour nous entendre, vêtus et coiffés.

● Bien sûr, il y a des montagnes de mots justes et exactes sur argument, comme avons seulement les mots pour le dire, le tout est simple passe-temps, passe-vie, variations sur le thème, mais qu'autre pouvons faire à ce monde ? Fondamental il est qu'elles ne soient pas mêlées cependant avec les contes de fées et légendes, contes de fées et légendes qu'ils font mal, très mal, spécialement aux bambins, puis qu' ensuite pour les évacuer du cerveau ne suffit pas une vie le plus souvent, et nous en subissons les conséquences tout et tous le jour et les jours.

● Donc place nettoyée avec la vie créée du rien, créer et tous ses dérivés doivent être enlevés du dictionnaire, de l'éponge sur des êtres divins et de tout le cirque qui se portent derrière. Ils doivent être recherchées des personnes comme Alexandr Ivanovitch Oparin (1894-1980), biochimique russe ou son contemporain John Haldane (1892-1964), biologiste britannique ; qui disent que la concaténation des matières inanimées a porté à la matière vivante, la vie vient d'une réaction chimique, parlons d'hydrogène, d' oxygène, d' azote et en suivant, provoquées par de l'énergie, l'énergie solaire. Pour tous les nombres, les chiffres (qvcdw). Alors il est clair et net, nos origine il n'est rien d'autre que celle-ci, qui veut s' amuser sur argument, très libre de discuter s'il avait été le CO2 ou bien le CH2O à se cumuler ou moins dans l'atmosphère, mais pas ici, ici nous cherchons le noyau, l'essence, ne voulons pas enfiler dans l' excédant, ce que nous voulons est l'arithmétique des mots, dosées et localisables, certes, pour combien soit possible.

● Nous arrivons, de cette manière, rapide et prive de fanfreluches, à la soeur singe ou frère gorilla, les mammifères, et à nous, soi-distants primates intelligents. Comme nous voyons le protozoaire, le bactérie encore tournent inchangé dans la planète, mais quelqu'un entre eux a cherché une modification plutôt que une évolution, dans l'évolution se remarque un passage graduel optimiste, un positivisme, ici, sur la terre, il n'y a rien de gaie, la modification se produit malgré nous mêmes, presque contre envie, le bactérie, le protozoaire qui sont devenues être humain l'ont fait, mais pouvait même ne pas le faire comme beaucoup de son semblables encore des bactéries à ce jour.

● Nous pouvons nous faire à une grande parallèle entre ces protozoi et les actuels humains, quelqu'un reste ancré en subissant seulement la transformation du temps, comme plante végétal, naît et meurt là où se trouve, autres cherchent autres combinations, autres concomitances, modifient, recombinent en bref, si vraiment nous voulons découvrent, inventent, mais tout et toujours reste sur cette planète, toujours contingente, jamais transcendante.

● La vraie question qu'il devrait être étudiée est, comme jamais un singe dans cette partie que nous appelons Afrique s'est mise à parler, ou mieux articuler des sons sortants de la bouche, ici vont chercher les roches pointus et toutes les autres bricoles, puisque seulement ce bric-a-brac il y reste. Certain, il y a hypothèses, spéculations sur la physiologie du cerveau, des cordes vocales, a la respiration et l'apnée, le singe aquatique et le reste, mais de ceci ne s'agit pas, la question est comme jamais se sont mis à parler, ont a senti la nécessité d' émettre des sons complexes plus possible transmissibles, point interrogatif. Il viendrait simple et naturel observer les animaux toujours au tour de nous, emploient le son vocal, pour informer sur leur territoire, pour des chants d'accouplement et d'autre, mais quelque singe a continué à insister, exercer le laringe, jusqu'à devenir un soprano lyrique.

● Parce que clairement, ceci nous le savons bien, ne suffisent pas six, sept sons pour se faire entendre, mais non plus, six, sept cents, et tout cela dans l' espoir vaine, jusqu'à aujourd'hui, que si je t'explique bien qui ceci est mon territoire tu va pas entres. Ils ont parlé pour abaisser la tension, tenter, au moins à l'apparence, de traîner dans la planète un peu mieux, l'animal est toujours vigilante dans la nature, certes pas le chien sur le petit tapis, parce qu'il n'explique pas ou explique peu, pour ce besoin d'expliquer ces singes ont obligé le cerveau à leur fournir de l'articulation des sons, n'aura pas été aujourd'hui, n'aura pas été demain, mais voilà ici, nous parlons et chantons aussi. Et on se traite pas seulement d'observer les animaux, même les enfants avant d'entrer dans la langue accusent une très haute tension, spécialement en se retrouvant entre des contemporains, ils agissent avec les mains, coups, cris, hurle, tirées, accrocs ; les pauvres, un drame pour eux et tous nous la ressentons sur le dos cette tragédie vécue, ne nous cachons pas derrière le petit doigt, s'il vous plait, s'il vous plait.

● Ensuite la majorité de nous acquiert une langue ou quelque chose de semblable, bref des mots pour dire, et cela duré des siècles de notre ancêtre singe, maintenant est réduit, comme tout : miniaturisé. Soit bien entendu, l'entrée dans le langage il ne fait pas qu'atténuer légèrement le drame tragique de la vie qui nous cherchent de trainer en avant, même pour le simple motive que rien est fait pour augmenter la puissance du mot d'abord et du discours ensuite.

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